Tra tanti, che per brevità tralascio, piacemi solo riferire per la loro singolarità le opinioni del Vattel [Lib. III. c. 5. § 75, e 76.]: puisque ce n'est point le lieu ou une chose se trouve qui decide de la nature de cette chose-là, mais la qualitè de la personne á qui elle appartient, les choses appartenantes a des personnes neutres, qui se trouvent en pais ennemis, ou sur des vaisseaux ennemis, doivent être distinguèes de celles qui appartiennent á l'ennemi.
      Il s'agit des biens mobiliaires dans le paragraphe precedent. La regle est differente á l'egard des immeubles, des fonds de terre. Comme ils appartiennent touts en quelque sorte á la nation; qu'ils sont de son domaine, de son territoire, & sous son empire, & comme le possesseur est toujours sujet du pais en sa qualitè de possesseur d'un fonds, les biens de cette nature ne cessent pas d'être biens de l'ennemi, quoique ils soient possedés par un étranger neutre. Cependant aujourdui que l'on fait la guerre avec tant de moderation, & d'égards, on donne des fauve gardes aux maisons, & aux terres, que des étrangers possedent en pays ennemi. È difficile far più grosso gruppo di contradizioni. La differenza tra' mobili, e gl'immobili è capricciosa. Tutto quel, che stà sul territorio soggiace alla Sovranità di esso. In fine la solita scappatoia del Vattel di ricorrere alla moderazione, ed ai riguardi è fuor di luogo. L'ho diggià avvertito di sopra, si tratta di stabilir teorie di dritto, non di far parenesi, e sermoncini di moderazione, e di carità verso il prossimo.