» (Insurrection de Milan pag.51). E più sotto «20 mars-Quel ques instants après, la municipalité rendit une ordonnance datée d'une heure après midi, et après laquelle che se saisissait de tous les pouvoirs, et s'adjoignait provisoirement comme collaborateurs Borromeo, et Strigelli. Avec ces hommes, le gouvernement provisoire de S. M. Sarde était tout fait (pag. 68)»: e più sotto: «Cependant le comte Giulini, qui ve nait justement de se faire mommer au nombre des collaborateurs de la municipalité avait, de son côté. rédigé un appel des plus humbles, et des plus lamentables, dans lequel il suppliat Charles Albert de vouloir bien se donner la peine d'empêcher, que Milan ne fu detruite une autre fois» (pag. 88). Così si costituì il governo provvisorio, che si diceva di Milano, e difensore dei diritti di un popolo libero.
(Nota del Trad.)
(3) Armonia, che pare volesse egli mantenere «Aussi repondait - il qu' il n'abandonnerait jamais le terrain de la legalité, et qu' il ne voulait pas êtrc autre chose, que le chef de la municipalité.» Insurr. de. Milan, pag. 50. (N. del T.)
(4) Ciò vien posto maggiormente in luce dai replicati sforzi del Casati, e suoi collaboratori per far accettare l'armistizio due volte proposto da Radetzki, con tanta energia rifiutato dal Cattaneo, Cernuschi, Terzaghi, e da tutti i cittadini: nonchè dall'ordine del giorno 20 marzo, 8 ore del mattino, riportato dal signor Cattaneo nella sua «Insurrezione di Milano» alla paga 51. «Considerant, que l'absençe e impreveu de l'autorité politique donne lieu de fait à la pleine et entière exécution du décret du 18, du gouvernement (autrichien) qui attribue à la municipalité l'exercice de la police, aussi bien de celui, qui permet l'armement de la garde civique pour le maintien de l'ordre et la défense des habitans, nous chargeons etc. etc.
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