Nous avons passé la nuit sur les hauteurs de Pastrengo; les feux du bivouae ennemi, situé sur la rive gauche de l'Adige, étaient fort près de nos avant-postes". (Ferrero, p. 32, 36).
      (63) [E. Bava, op. cit., p. 22]
      (64) [E. Bava, op. cit., p. 23, 24]
      (65) [E. Bava, op. cit., p. 25]
      (66) Je puis certifier que l'armée a eu dans cette expédition près de 1000 hommes hors de combat. L'attaque des avant-postes de Vérone a été une tentative téméraire et mal dirigée; les différents corps d'armée ont complétement manqué d'ensemble; il est évident que l'on n'avait pris aucunes mesures pour connaitre le terrain sur lequel les opérations devaient s'exécuter; l'on nous a fait assaillir des rétranchement munis d'artillerie, tandis que l'effet de nos batteries était nul, ne pouvant approcher à cause des difficultés du terrain. Il est fâcheux qu'au lieu d'effectuer notre retraite comme à la suite d'une grande manoeuvre, on n'ait pas détruits les ouvrages de Santa Lucia, dont nos troupes s'étaient emparées ". (Ferrero, p. 42, e 43).
      (67) Raccolta, vol. I; p. 482.
      (68) 23 Avril. Ce triste état d'inaction, où l'on épreuve toutes les privations et les fatigues de la guerre, sans en avoir les émotions saisissantes ". (Ferrero, p. 27).
      (69) [Raccolta, cit., II, p. 355]
      (70) [E. Bava, op. cit., p. 33, 34]
      (71) [E. Bava, op. cit., p. 40]
      (72) [E. Bava, op. cit., p. 43]
      (73) 4 Juin. Deux jours de pluie continuelle, mirent obstacle à la poursuite de l'ennemi; du moins l'on objecta au quartier général, qu'il était impossible de conduire l'artillerie à travers des chemins fangeux et des terres détrempées.