.. justifie l’adoption de la généralité des botanistes... Tous, du moins tous ceux qui méritent quelqu’autorité sont d’accord sur la première division du régne végétal en grands groupes dont la structure de l’embryon résume les caractères, et à peu près sur la dernière division en ces groupes plus petits que nous avons nommé familles. Ce n’est que sur le divisions intermédiaires que portent les dissidences. Nous n’avons pas à nous en occuper jusqu’à ce qu’elles cessent, et que soit pour la connaissance d’éléments qui nous manquent encore, soit par quelque heureux effort d’un génie auquel se découvre une base jusqu’ici inconnue nous voyons s’établir une classification qui rallie toutes les opinions et commande les convictions. Elle sera pour la coordinations des familles entre elles, ce qu’a été l’établissements des familles elles-mêmes pour la coordination des genres. Ce sera le second et dernier grand pas dans la marche de la méthode naturelle appliquée au règne végétal» (pp. 392, 393).
Questo passo è degnissimo di attenzione per più motivi. In primo luogo perché la pietà di parente non toglie all’autore di segnalare il vero punto debole del sistema naturale inventato e tracciato da’ suoi antenati Bernardo e Antonio Lorenzo. In secondo luogo perché con savie e giustissime riflessioni si condannano le innovazioni escogitate dai moderni, come quelle che furono ben lungi dallo introdurre nel sistema anzidetto vere e reali migliorie e sostanziali mutazioni.
Ma la significazione più importante del sovracitato passo consiste in ciò che da ogni linea, da ogni parola traspare lo sconforto e la disillusione in cui era caduto lo spirito d’un tanto naturalista qual fu Adriano Jussieu, quasi disperante di veder quandocchessia messi fuori nuovi criterii e principii per poter dar mano al complemento del vero metodo naturale.
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Bernardo Antonio Lorenzo Adriano Jussieu
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