A questa conclusione era io venuto dopo numerose osservazioni in proposito fatte durante un sessennio a Firenze, in Liguria, a Vallombrosa; e dopo aver raccolto sufficienti dati desunti dalle pratiche degli agricoltori e dei forestali.
      Inde irae del Bonnier contro di me che gli guastava la sua formidabile argomentazione.
      E vedasi quanta benignità di giudizio spiega a mio riguardo il monografo dei nettarii (pag. 66): «Je dois cependant ajouter qu’on c’est proposé d’expliquer le rôle de ces nectaires extraflorales, dont l’existence venait contredire la théorie. On a voulu leur attribuer un but utile à la piante tout en admettant qu’ils ont pour rôle d’attirer les insectes en leur fournissant une nourriture sucrée. M. Delpino soutient que le pouvoir de sécréter un liquide sucré a été donné aux nectaires extrafloraux pour attirer les fourmis et les guêpes qui auraient pour mission de défendre la plante contre ses ennemis, contre le chenilles par exemple».
      «M. Darwin (Fécondation croisée, pag. 412) a refusé d’abord d’admettre cette supposition de l’auteur italien, qui, du reste, ne s’appuie sur aucune preuve expérimentale. Cependant M. Darwin admet plus loin cette hypothèse, à propos de l’Acacia sphaerocephala. Les abeilles (sic) aussi visitent les nectaires extrafloraux de cette plante, d’après M. Belt (The Naturalist in Nicaragua, 1874, pag. 218): je ne vois pas en quoi elles peuvent lui servir de gardiens».
      «Au reste, il est inutile d’insister plus longtemps sur le rôle supposé; on ne peut discuter de semblables hypothèses faites sans observations, sans expériences, et dont I’imagination fait tous les frais.