La connaissance fut bientôt fait, et l'amitié de ces deux grands hommes ne s'est jamais démentie
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      Si potrebbe quasi ammettere che Dumas abbia nel racconto di questo aneddoto utilizzato ed ampliato quanto scrisse il Vicq d'Azyr nel suo elogio di Bergman (Hist. De la Soc. Roy. de Medecine de Paris, ann. 1782-1783 e pubbl. nel 1787, pag. 181). Il Vicq d'Azyr scrive:
      M. Scheele occupoit le simple emploi de garçon chez un apothicaire d'Upsal; là, dans une obscurité profonde, il travailloit, il meditoit en silence. Déjà les observations les plus neuves et les plus importantes sur l'air, sur le feu et sur la terre pesante, avoient été le fruit de ses recherches; et cependant elles étoient, ainsi que son nom, ignorées de toute la terre. M. Bergman l'apprend, il y vole; il est frappé d'étonnement à la vue de ce phénomène: c'est un trésor, c'est un grand homme qu'il à trouvé; il s'en empare, il le montre à ses amis, à ses élèves, à l'Académie; il annonce, il célèbre scs travaux; c'est par lui que la renommée fait tout ce qu'ils valent, et M. Scheele lui-même doit étre compté parmi ses découvertes
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      In questo elogio il Vicq d'Azyr accenna a coloro che accusarono Bergman d'essersi appropriato alcuni lavori di Scheele e giustamente lo difende.
      Il racconto del Dumas è stato poi riprodotto da quasi tutti gli storici della chimica.
      L'aneddoto qui attribuito a Bergman è invece dal Cap (in Scheele, Étude biogr. in J. Pharm. Chim., 1863 [3], t. XLIII, pag. 309), attribuito a Gahn:
      L'assesseur Jean Gottlieb Gahn, depuis chimiste célèbre, alors étudiant à Upsal, s'occupait avec succès de chimie.