(2) Mentre quasi tutto è silenzio intorno al Copernico, il Bruno, sbalestrato in sul fiore degli anni dai lidi d'Italia a quelli d'Inghilterra, sfida i dotti di Londra e di Oxford a misurarsi con lui intorno alla dottrina Copernicana.
      E ciò nel 1591, quando gli scienziati inglesi si rifiutavano di accettare il sistema Copernicano (Opere di G. Bruno, nolano, ora per la prima volta raccolte e pubblicate da Adolfo Wagner, Lipsia 1830, in Dom. Berti, Copernico e le vicende del sistema copernicano in Italia, 1876, vol. LXXVII. V. anche Landsbeck, Bruno, der Märtyrer der neuen Weltanschauung, Leipzig 1890, in Dannemann, Die Naturwissenschaften, t. I, pag. 325).
      Giustamente scrisse il Bovio che il principio di causalità, come fu integrato da Bruno, diviene la legge di evoluzione dei nostri tempi (G. Bovio, Il pensiero italiano nel secolo XVII, 1895).
      Le philosophe italien Giordano Bruno fut l'un des premiers convertis à la nouvelle astronomie. Prenant Lucrèce comme exemple, il fit revivre la notion de l'infinité des mondes, et en y combinant la doctrine de Copernic, il atteignit cette sublime généralisation que les étoiles fixes sont des soleils, éparpillés en nombre infini à travers l'espace et accompagnés par des satellites qui sont, à leur égard, ce qu'est notre terre pour le soleil ou la lune pour notre terre. Celle découverte était d'une importance capitale, mais Bruno se rapprocha encore davantage de notre direction de pensée actuelle. Frappé du problème de la génération et de la stabilité des organismes, et après des mûres réflections, il en arriva à conclure que la nature, dans ses productions, n'imite pas l'art de l'homme, elle procède par manifestations et développements.