È interessante il giudizio su Davy formulato da Berzelius in una lettera a Berthollet (ott. 1812):
. . . . . . . . . . . . . . Malheureusement je n'ai pu profiter que quelques jours de la société de Davy. Il est nouvellement marié, a fait une grande fortune et il alla faire un voyage en Écosse quelques jours après mon arrivée à Londre. Ce jeune homme, déjà si renommé, a beaucoup de vivacité dans son maintien, une extrême facilité à comprendre et à attraper, une grande facilité à former des vues générales, quoique peut-être souvent un peu prématurées, et il est, en général, plus brillant que profond. Ses compatriotes disent qu'il a été très heureux dans ses richerches. J'ai souligné ce mot heureux, parce qu'il dérive d'une comparaison qu'on fait sans y penser entre lui et Wollaston
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[vedi davy.png]Sa nonchalance un peu hautaine vis-à-vis des hommes de sciences plus jeunes a déjà été signalée par Berzelius dans le récit de l'entrevue que lui et Wöhler avaient eue avec Davy à Helsingborg l'été de 1824
(80).
Anche Dulong si lagnava dell'alterigia di Davy, e il 2 ottobre 1820 scriveva a Berzelius: "Nous avons eu l'honneur de posséder quelques jours Son Excellence Monseigneur le Chevalier Davy et sa chaste épouse. A peine a-t-il daigné laisser tumber un regard sur moi, il ne m'a dit pas que quelques mots. Je soupçonne que, outre sa hauteur naturelle, il aura su que vous m'honoriez d'une estime particulière et qu'il aura reversé sur moi une partie de la rancune qu'il a conservée contre vous.
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