XI: Catalisi).
      I dissapori fra Berzelius e Liebig si accentuarono nel 1842.
      Un grande avvenimento scientifico apparve nel 1842 colla pubblicazione della Chimie organique appliquée à la physiologie el à la pathologie di Liebig. Il Berzelius, nel. suo Rapport Annuel del 1843, pag. 332, ne fece subito una bella recensione, ma anche una critica come egli sapeva fare. E qui si trovano le parole seguenti del Berzelius, che dovrebbero essere sempre meditate:
      Mon honorable ami, M. Liebig, m'a donné une preuve de son amitié distinguée en medédiant cet ouvrage. Qu'il me soit permis de lui en exprimer ici ma reconnaissance sincère et cordiale. La physiologie animale a été mon étude de prédilection depuis les années que j'ai passées à l'Université; mes premiers travaux l'avaient pour but exclusif, et plus tard elle a été, à différentes reprises, l'objet de plusieurs recherches. Mes opìnions différent, sur un grand nombre de points, de celles qui sont exposées dans cet ouvrage. J'envisage, entre autres, comme une base incontestable pour toute la science, que l'on doit faire une distinction rigoureuse entre les certitudes et les probabilités, et par conséquent que les véritables bases, sur lesquelles on doit développer une démonstration scientifique, ne permettent pas à l'auteur de s'efforcer à persuader au lecteur que des probabilités sont des vérités établies. Quelques probabilités peuvent bien, avec le témps, s'élever, par une nouvelle lumiére, à devenir des certitudes; mais la plupart d'entre elles retombent quand la lumière disparait.