J'ai, conjointement avec M. Gahn, achetè une part dans cette fabrique, et lorsque nous primes connaissance de la méthode d'opérer l'acidification du soufre, qui n'est pas entièrement la même que celle employée en Angleterre, le précipité rougeâtre nous frappa. Nous l'examinàmes, et, trouvant qu'il donne en brùlant une odeur très-forte de tellurium, nous crùmes pouvoir conclure que le précipité en question était un mélange de sulfure de tellurium avec du soufre. Cependant nous ne pùmes réussir à en extraire du tellure. J'en pris une petite quantité avec moi à Stockholm, où je l'examìnai de plus près. Je trouvais d'abord que ce soufre contenait une substance étrangère très-volatile, très-aisément réductible, mais qui ne se laisse point précipiter par les alkalis.
Après quelques tentatives infructueuses, je parvins à isoler cette substance
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Poi continua la lunga lettera descrivendo i caratteri principali della nuova sostanza scoperta. Questa lunga lettera può riguardarsi come una breve Memoria scientifica riguardante la litina ed il selenio.
Del selenio e del litio il Berzelius discorre a lungo in una lettera a Marcet del 22 aprile 1818.
Silicio. - In una lettera del 30 giugno 1809 a Davy(157), il Berzelius espone come egli abbia esaminato bene il ferro fuso e determinato con esattezza il carbonio, e vi abbia inoltre trovato "une portion assez considérable de la base de la silice". Questa base della silice sarebbe il silicio. E poi prosegue: "La silice consiste en 0,51 de base (silicium) e 0,49 d'oxygène ou à peu près. Cette grande quantité d'oxygène nous fair voir pourquoi elle ne forme point de sels avec les acides, quoiqu'elle se combine avec les alkalis, les terres et quelques oxydes métalliques".
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