je trouvais [egli continua con queste belle parole(191)] dans le nombre des analyses dont j'avais déjà les résultats, une telle confirmation de cette théorie, que je ne pus m'empècher d'examiner les dits phénomènes; et ce fut ainsi que le plan de mon travail sur une partie, d'abord très-limitée, des proportions chimiques, l'agrandit de plus en plus, et embrassa finalement les proportions dans toute leur étendue, dont j'étais loin de me faire une juste idée en commençant mes expériences. Elles donnèrent d'abord des résultats bien différents de ceux auxquels je croyais devoir m'attendre. À force de les répéter et d'y employer des méthodes variées, je m'aperçus des fautes commises. Eclairé par l'expérience de mes propres erreurs, et à l'aide de meilleurs procédés, je parvins à trouver une grande corrélation entre le résultat des analyses et les calculs de la théorie. La comparation de ces résultats développa successivement de nouvelles vues, qui domandaient à être vérifiées, en sort que le travail augmenta d'étendue, et peut-être aussi d'importance".
      Uno dei grandi meriti di Berzelius è quello, secondo me, di aver fatto conoscere i lavori di Wenzel e di J. B. Richter. Egli è certo che prima di Berzelius le ricerche di questi due chimici erano dimenticate. Il nostro Berthollet però fece conoscere i lavori di Richter. A proposito di Wenzel e di Richter, il Berzelius scrive già nel 1807, poi nel suo Essai del 1819 e nel suo Trattato.
      È vero che, osservarono i biografi di Richter e anche il Wurtz, a Wenzel non si deve la scoperta della proporzionalità tra le quantità dei corpi che entrano in reazione, e qui il Berzelius ha errato, perchè in realtà questa legge è di Richter, ma non è men vero che Berzelius riconobbe anche i grandi meriti di Richter e sui lavori analitici di questo chimico egli s'ispirò nelle prime sue ricerche.