Mais ces atomes B" et A, devenus libres, n'avaient pas éte combinés ensemble et n'ont pas cheminé à l'état libre à travers le liquide, car l'atome duquel ils ont été séparés, s'est uni à celui qui est arrivè le premier, de sort que l'état neutre n'a dù éprouver aucune altération dans toute la distance qui separe les extrémités N et P, comme en effet le démontre l'expérience.
[vedi fig_130.png]
Admettons maintenant que les atomes depuis A jusqu'à A' appartiennent à un acide, et les atomes situés de A' à A
à un autre acide, tandis que les atomes depuis B jusqu'à B' sont ceux d'une base, par exemple, d'un alcali ou d'un oxyde, et les atomes de B' à B" ceux d'une autre base. Dans ce cas, d'après la position même des atomes, l'acide qui le premier devient libre au point P n'avait pas été en combinaison avec la base qui la première est mise en liberté au point N, et des échanges d'acide et de base ont eu lieu pendant la progression des atomes, ainsi que l'expérience l'a réellement constaté".
L'affinità, secondo Berzelius, era un attributo della elettricità. Ogni azione chimica, egli diceva, è dunque un fenomeno elettrico dipendente dalla polarità elettrica delle particelle.
Si les vues électrochimiques sont justes, il s'ensuit que toute combinaison chimique dépend uniquement de deux forces qui sont l'électricité positive et la negative, et qu'ainsi chaque combinaison doit être composée de deux parties constituantes réunies par l'effet de leur réunion électrochimique, attendu qu'il n'existe pas une troisième force.
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Berzelius
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