87.
      (251) A., t. XI, pag. 1.
      (252) Harry C. Jones, Trattato di Chimico-Fisica, trad. ital. del dott. M. Giua. Milano 1913, pag. 334.
      (253) On the Electrolyse of Gases, in Nature, 1895, t. LII, pag. 453. Della nota del Thomson sono riportate dal Jones solamente poche righe; ma per averne un concetto più chiaro ho creduto bene riprodurne un brano più esteso.
      (254) Considerava ancora l'idrogeno e l'azoto come corpi composti. E l'ammoniaca come un composto di una base metallica con ossigeno.
      (255) In Söderbaum, Correspondance entre Berzelius et Cl. L. Berthollet, Stockholm 1912.
      (256) Riproduco qui in nota alcune pagine dell'Essai sur la théorie des proportions chimiques et sur l'influence chimique de l'électricité, Paris 1819, pag. 109. nelle quali il Berzelius espone le sue idee sui simboli:
      Méthode de compter le nombre relatif des atomes dans les combinaisons chimiques, et d'exprimer par des signes leur composition en qualité et en quantité.
      Lorsque nous essayons d'exprimer les proportions chimiques, nous trouvons qu'il est nécessaire d'avoir des signes chimiques. On en a employé depuis longtemps, quoiqu'ils aient été jusqu'à présent de peu d'utilité. A l'époque de l'alchimie, des signes furent créés par le besoin de s'exprimer d'une manière mystique et incompréhensible pour le vulgaire. La chimie antiphlogistique voulut leur en substituer d'autres, fondés sue le même principe scientifique que les nouveaux noms chimiques: le signe devait indiquer les parties constituantes d'un corps composé. Mais quoique ces signes, il fait l'avouer, fussent bien choisis, ils n'etnient guère utiles; car il est plus aisé d'écrire un mot en abrégé que de dessiner une figure, qui d'ailleurs, pour être aisément remarquée, doit être plus grande que les caractères ordinaires de l'écriture.