7.
      (378) Mém. de la Soc. d'Arcueil, vol. II.
      (379) Nella sua bella Memoria: Sur la composition des acides phosphorique et phosphoreux et sur leurs combinaisons avec les bases salifiables (A. Ch., 1816 [2], t. II, pag. 329), nel capitolo: Sur la constitution des acides phosphorique et phosphoreux, d'apres les vues de la théorie corpuscolaire, Berzelius tratta indifferentemente di atomo o di molecola, e scrive:
      Je crois que la plupart des chimistes qui ne s'attachent pas aveuglement aux spéculations purement dynamiques de certaines écoles de notre temps, lesquelles considèrent la matiére comme le résultat de deux forces opposées, je crois, dis-je, que les chimistes qui ne sont pas adonnés à ces idées trouveront que les phénoménes dea proportions chimiques se laisseront mieux comprendre, en admettant que les éléments se combinent, un atome ou molécule avec un ou plusieurs autres atomes ou molécules; en un mot, je suis persuadé, qu'une théorie corpusculaire raisonnée qui ne néglige point les forces dont les combinaisons des molécules dépendent, sera dorénavant la base de la théorie de la chimie et de la physique; que cette théorie corpuscolaire soit, au reste, une exposition vraie de la nature des choses, ou seulement un mode de représentation qui nous fait comprendre et connattre ce qui sans cela serait resté inexplicable et inconnu
      .
      Accenna quindi alla teoria corpuscolare di Dalton, alle ricerche di Thomson, ma non nomina Avogadro.
      Più avanti, a pag. 332 della stessa Memoria, scrive: "S'il est juste de considérer les corps comme composés de molécules simples et (dans l'hypothése) indivisibles", ecc.