(Pisa. 17. Aprile. 1828.)
- (Il cui genio (di Laplace) è per me come quei Veri che pochi veggono, ma che son creduti da tutti, perchè uno spirito superiore li vede e li mostra. Daru, Risposta al discours de réception di Royer-Collard all'Accad. Franc. nell'Antologia di Firenze, n.86. p.138.).
Alla p.4264. De toutes les langues cultivées par les gens de lettres, l'italienne est la plus variée, la plus flexible, la plus susceptible des [4305]formes différentes qu'on veut lui donner. Aussi n'est-elle pas moins riche en bonnes traductions, qu'en excellente musique vocale, qui n'est elle-même qu'une éspece de traduction. D'Alembert, Observations sur l'art de traduire, premesse al suo Essai de traduction de quelques morceaux de Tacite.
Les taches qu'on peut faire disparoître en les effaçant, ne méritent presque pas ce nom; ce ne sont pas les fautes, c'est le froid qui tue les ouvrages; ils sont presque toujours plus défectueux par les choses qui n'y sont pas, que par celles que l'auteur y a mises. Id. ib.
(Pisa. 8. Maggio. 1828.)
Alla p.4298. fine. In Pisa, su un canto della piazza dello Stellino, oltre la croce dipinta, v'è la leggenda: Rispetto alla Croce. V. p.4307.
Nous n'acquérons guere de connoissances nouvelles que pour nous désabuser de quelque illusion agréable, et nos lumieres sont presque toujours aux dépens de nos plaisirs. D'Alembert, Réflexions sur l'usage et sur l'abus de la philosophie dans les matieres de goût, lues à l'Académie Françoise le 14 mars 1757.
E molte forti a Pluto alme d'eroi Spinse anzi tempo, abbandonando i corpi Preda a sbranarsi a' cani ed agli augelli.
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