(30. Agosto. 1828.)
M. Bilderdijk, poeta il più riputato degli Olandesi viventi, ed anche famoso erudito e scienziato (viveva 1826.), in una memoria van het Letterschrift [4361](sur les caractères d'écriture), in- 8°. Rotterdam 1820., adhère à l'opinion que les anciens alphabets ne contenaient que des consonnes. (Bull. de Féruss. loc. cit. alla p.4312. t.6. 1826. art.152. p.183.) Questo però per ragioni e spiegazioni diverse da quelle da me addotte altrove.
(31. Agosto 1828.)
Alla p.4340. Il a paru cette année (1824.) à Leipzig un livre qui doit attirer l'attent. des amat. de la littér. slavonne. C'est un recueil de chansons serviennes en 3. vol. publié par Vouk Stéphanovitch littérateur servien très connu et auteur d'une grammaire et d'un lexique servien. Voici le compte qu'en a rendu le journal des savans de Goettingue (1823. n.177. et 178.) "Ces chants serviens n'ont point été émpruntés aux vieilles chroniques; ils ont été recueillis de la bouche même du peuple. Comme ils ne furent jamais écrits, jamais non plus ils n'ont ni vieilli ni ne sauraient vieillir". Ib. t.5. Janv. 1826. art. 24. p.26.
(31. Agos. 1828.). V. p.4372.
Vouk Stéphanovitch et quelques autres littérateurs serviens modernes ont cru bien faire d'introduire de nouvelles lettres ainsi qu'une orthographe étrangère tout-à-fait barbare chez les Slaves. Pourquoi ne pas s'en tenir à l'ancien alphabet cyrillien? (V. il pensiero precedente e quelli a cui si riferisce). Ib. extrait du Fils de la patrie (Giorn. russo), n.26, p.241, 1824.
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