STAËL
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Proprio elementoL'Eterno ai figli della luce il cielo
Diede, ed ai figli della terra il fango.
Nati dal fango, noi dobbiam nel fangoVivere, strascinarci, ed affogarvi:
E quei che il cor lo sforza a infranger questaLurida legge, oh, quei ne paga il fio
Crudelmente(136).
M.
Ma respingereColl'insidia l'insidia, e col pugnale
Respingere il pugnal; questa è una pugnaCh'io non conosco, nè conoscer voglio.
M.
Voi siete vermiBrulicanti al mio piede. . . . . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . .Salirò sul patibolo, più grandeE più sicuro che sul trono un re.
M.
Omai Teresa
Per me non è più che un dei mille vermiBrulicanti a' miei piedi(137).
Ed in quel giornoTroppi vi furo di spergiuri, troppi,
Senza ch'io mi v'aggiunga(138).
M.
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- La sua voce nell'anima mi scendeSiccome l'inno d'una Peri....
DA BYRON.(139)
Il est plusieurs poètes qui n'ont jamais écrit leurs inspirations, et ce sont peut-être les meilleurs: ils sentirent, aimèrent, et moururent; mais ils refusèrent de prêter leurs pensée aux âmes vulgaires; comprimant le dieu au-dedans de leurs cœurs, ils allèrent rejoindre les astres sans avoir cueilli de laurier....
BYRON.
La douleur c'est la science.
ID.
Je suis sillonné de rides, non par les années, mais par des heures, et des moments plus longs que des siècles.
ID.
La plus terrible vengeance est la file du silence.
ID.
Après cette sublimité de vertu, qui fait trouver dans sa propre conscience le motif et le but de sa conduite, le plus beau des principes qui puisse mouvoir notre âme est l'amour de la gloire.
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Eterno Salirò Teresa Peri
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