».
(412) Ricasoli, durante il suo ministero, permise perfino la raccolta in tutta Italia dell'obolo di San Pietro! E si sapeva dove andavano a finire quei denari...
Tipico ultimo rappresentante della mentalità clericale di fronte all'Italia in cammino, il diplomatico francese d'Ideville (v. il suo libro Piémontais à Rome).
(413) Lanza a Rattazzi (colloquio), dicembre 1871: «... On nous crie: réforme, réforme! Libertés, économies, ordre, justice, égalité... et que sais-je encore? Tout cela est-il possible dans la situation présente? Franchement, je vous défie de mener à bien une réforme quelconque avec un parlement tracassier comme le nôtre, sans discipline, sans principes, sans programme. Donnez donc de la liberté à une nation que ne vous en demande point... ce qu'elle veut, c'est du pain à bon marché, c'est la suppression de l'impôt sur le sel, du papier-monnaie et des douanes. Faites donc des économies, quand vous avez un budget qui se salde avec 200 mill. de déficit... Donnez donc l'égalité et la justice à une nation qui verrait dans cette concession un aveu de faiblesse de la part du gouvernement... et essayerait des échauffourées, comme celles de Palerme... Je suis las; je deviens tous les jours plus sceptique» (Rattazzi et son temps, II, p. 487).
(414) Jacini lamenta (Sulle condizioni della cosa pubblica) l'estrema instabilità dei ministeri; tanto che si sente da tutti ripetere «che, messi insieme nove uomini, scelti per ciascun ramo della pubblica amministrazione, fra coloro che al governo già fecero men buona prova e lasciati tre o quattro anni alla direzione dello Stato, se ne avrebbero risultati assai migliori che non da un ministero composto da nove geni, ma colla spada di Damocle sospesa ogni giorno sul capo ed esposti ad ogni pié sospinto.
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